De Philip Webb. 2011. Science-fiction jeunesse, cadre post-cataclysmique. Lecture distrayante.
Résumé :« Dans un monde post-apocalyptique, quatre adolescents partent en quête d’une mystérieuse relique très puissante, sur laquelle repose l’avenir de l’humanité. Ils ont six jours pour combattre les forces du mal…«
J’ai trouvé les évènements parfois un peu trop prévisibles, je ne me suis pas plus attachée aux personnages que ça, mais juste suffisamment pour arriver au bout de ma lecture sans m’ennuyer non plus. Je conseille aux amateurs de fiction jeunesse, ou à un public pas trop regardant. On peut trouver un certain nombre de réflexions sur la vie, la mort, le temps, la famille, l’humanité et tout, mais encore une fois pas de manière très profonde. La navigation dans Londres est assez sympathique toutefois, et certains éléments de S-F assez originaux, et pas trop mal développés.
J’ai plutôt bien aimé le style, plutôt très dynamique et familier, bourré d’expressions ou de mots qu’on croise rarement à l’écrit.
Une réflexion au sujet de « Six jours pour (sur)vivre »
C’est le genre de livre que j’aime lire de temps en temps, je note donc ! L’histoire se passe à Londres en plus, c’est une ville que j’aime beaucoup, ce serait l’occasion de l’aborder d’une manière un peu différente 😉
C’est le genre de livre que j’aime lire de temps en temps, je note donc ! L’histoire se passe à Londres en plus, c’est une ville que j’aime beaucoup, ce serait l’occasion de l’aborder d’une manière un peu différente 😉