De Scott Lynch. Bragelonne : 2014. Roman d’aventures sauce fantasy. Série coup de cœur. [668 p.]
Titre du tome : La République des Voleurs.
Titre original : The Gentlemen Bastards, T.3 : The Republic of Thieves, 2013
Résumé : « Après le plus grand casse de leur carrière, Locke et son inséparable complice, Jean, ont réussi à s’échapper. Mais Locke ne s’en est pas tiré indemne : empoisonné, il est mourant. Aucun alchimiste n’est en mesure de l’aider. Alors que le moment fatidique approche, une mystérieuse Mage Esclave lui propose un marché qui le sauvera ou mettra un terme à ses souffrances. Locke hésite, jusqu’à ce que la mage mentionne le nom d’une femme qu’il a connue par le passé. L’amour de sa vie. Sa rivale en matière d’habileté et d’intelligence. Et, s’il accepte cette mission, son plus dangereux adversaire.
À l’approche des élections de la cité des mages, les différentes factions recrutent leurs stratèges. Locke doit faire un choix : affronter ou séduire celle qu’il n’a jamais pu oublier. Leurs vies dépendent peut-être de sa décision… »
Enfin ! Après nous avoir parlé de Sabetha à mots couverts pendant deux tomes, Scott Lynch décide enfin de nous présenter le dernier larron de la bande des Gentilshommes ! (Je suis en train de me dire que je risque d’avoir de plus en plus de mal à vous parler de cette série sans me répéter ou vous dévoiler des éléments de l’intrigue, mais je vais tout de même essayer) Concernant Locke et Jean, franchement je vais passer, si vous en êtes à ce tome vous les connaissez déjà, et l’auteur reste très cohérent dans ses choix de départ et sa dynamique. Les autres personnages de ce tome, vous les découvrirez comme bien d’autres avant si vous vous plongez dedans, je n’ai rien de spécial à dire sur eux, il y en a toujours que j’adore, d’autres un peu moins, mais tous semblent tellement vivants et tellement bien ancrés dans leur environnement, avec ce côté vaguement exagéré dans beaucoup de cas, que j’ai toujours presque l’impression devoir se dérouler une partie de JdR sous mes yeux plutôt que de lire. Bon, je suppose que l’environnement et le thème du voleur / de la tromperie ne m’aide pas !