Robin Hood, le proscrit

D’Alexandre Dumas. Edition de 2007. Roman. Une vraie déception / un style qui ne me plaît pas du tout.
robinhoodRésumé : « Robin Hood, seigneur de Loxley et archer très habile, est proscrit suite aux sombres manoeuvres du shérif de Nottingham et de ses puissants alliés. Avec ses joyeux compagnons, il décide alors de continuer à dépouiller les nobles Normands et le clergé de leurs richesses afin de soulager la misère des pauvres…
«- Ne bougez pas, Will, dit le pèlerin, je suis Robin Hood ; je vais couper les liens qui entravent vos mouvements, nous nous élancerons au milieu des soldats, la surprise leur fera perdre la tête.
– Soyez béni. Ah ! mon cher Robin, soyez béni !
– Baissez-vous, William, teignez de me parler; bon ! voici vos liens coupés, prenez l’épée qui est suspendue sous ma robe ; la tenez-vous ?
– Oui, murmura Will…»« 
      Je me suis arrêtée vers la page 150, ne supportant plus ni Robin des Bois ni ses joyeux compagnons (il reste encore 200 pages environ). Ma déception est grande à bien des niveaux : tout d’abord Alexandre Dumas est pour moi une référence ; j’avais lu ses histoires de mousquetaires avec grand plaisir, tant pour le style que pour les personnages un minimum fouillés, et les intrigues entrelacées, et bien démêlées – tout le contraire de ce que j’ai trouvé dans ce livre !
Au fait il y a deux Alexandre Dumas, le père et le fils. Si je suis sûre que le père est à l’origine de « un pour tout, tous pour un », je ne me souviens plus de ce qu’a écrit le fiston – mais après tout qu’importe, puisque qu’il me semblait que c’était aussi un plutôt bon écrivain.

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