Fin mai, comme chaque année, je me réserve le week-end pour aller aux Imaginales à Épinal, seul salon de l’imaginaire que je visite pour le moment pour des questions de proximité géographique. (Et puis c’est vachement bien)
Cette année ça a été un peu la course car nous étions en plein déménagement, de telle sorte que nous avons finalement emménagé le week-end juste après les Imaginales – ce qui veut dire moins de temps à la fois pour s’organiser pour le festival, moins de temps pour lire avant et après…