De Robert Silverberg. J’ai Lu, 1992. Science-Fiction. Bonne lecture. [159 p.]
Titre original : Letters from Atlantis, 1990 ; trad. de l’américain par Frédéric Lasaygues
Résumé : « L’Atlantide, île radieuse… Mythe ou réalité ? En ce XXIème siècle, la grande révolution de l’exploration temporelle est enfin venue. Et c’est ainsi que Roy Colton est « transféré » dans l’esprit du prince Ram, l’héritier du trône atlante. Ce qu’il découvre dépasse la légende. Tandis qu’en Europe les hommes chassent les derniers mammouths à l’aide de haches de pierre, les Atlantes sillonnent les mers à bord de navires propulsés par des turbines et s’éclairent à l’électricité ! Qui sont ces bâtisseurs ? Comment une civilisation aussi avancée a-t-elle pu disparaître sur cette île perdue au milieu de l’Atlantique Sud ? Roy découvrira le secret des Atlantes. Mais il connaît aussi leur avenir tragique. Comment ne pas révéler au prince ce qui l’attend ? Peut-on défier le destin ? Sauver l’Atlantide ?«
Une fois n’est pas coutume, je commence ma chronique par une citation.