De Donato Carrisi. Calmann-Lévy, 2010. Thriller. Très bonne lecture. [433 p.]
Titre original : Il Suggeritore, 2009. Traduit de l’italien par Anaïs Bokobza.
Résumé : « Cinq petites filles ont disparu. Cinq petites fosses ont été creusées dans la clairière. Au fond de chacune, un petit bras, le gauche. Depuis qu’ils enquêtent sur les rapts des fillettes, le criminologue Goran Gavila et son équipe d’agents spéciaux ont l’impression d’être manipulés. Chaque découverte macabre, chaque indice les mènent à des assassins différents. La découverte d’un sixième bras, dans la clairière, appartenant à une victime inconnue, les convainc d’appeler en renfort Mila Vasquez, experte dans les affaires d’enlèvement. Dans le huis clos d’un appartement spartiate converti en QG, Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire : tous les meurtres sont liés, le vrai coupable est ailleurs. Quand on tue des enfants, Dieu se tait, et le diable murmure…«
Que d’encre, matérielle ou virtuelle, ce livre a fait couler ! Il y a quelques temps j’avais l’impression que tout le monde l’avait lu et adoré. Une explication au phénomène, outre la qualité indéniable du livre, serait peut-être qu’il s’agit d’un premier roman. Il signore Carrisi s’est depuis distingué un peu plus en tant qu’incontournable littéraire avec d’autres titres, dont la Femme aux fleurs de papier que j’ai des chances de me procurer un jour rien que pour voir comment il traite le Titanic et ses passagers historiques.
Lire la suite →