Démons et Merveilles

De H.P. Lovecraft. Éditions 10/18, 1955. Nouvelles fantastiques. Bonne lecture. [250 p.]

51aUfRM576L._SL500_SY344_BO1,204,203,200_Résumé : «  » Comparé à ces contes, Poe ressemble à de la musique de chambre « , a écrit Daniel George. On sait maintenant que Howard Phillips Lovecraft est le premier romancier moderne dans l’ordre du fantastique. Les récits qui composent Démons et merveilles sont autant de voyages hallucinants et angoissés à travers cet inconnu que les découvertes scientifiques modernes n’ont réussi qu’à multiplier. »

Je ressors de ce recueil plutôt soulagée – d’habitude j’apprécie autant le Lovecraft qui nous écrit des récits d’horreur que celui qui se prend à rêver à des contrées inconnues (les Chats d’Ulthar, Polaris, font partie des textes que j’ai retenus comme très beaux), mais ici ma lecture a été très clairement usante sur la fin !

Pourtant, cela ne démarrait pas si mal… Et je ne retiens pas non plus que du mauvais.

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My Friend Walter

De Michael Morpurgo. Egmont, 1988. Roman jeunesse. Très bonne lecture. [156 p.]

myfriendwalterRésumé :  » ‘I never in my life betrayed my country. They wronged me by my death and such a wrong should be righted.’ Bess Throckmorton discovers she is descended from Sir Walter Raleigh, daring adventurer and favourite courtier of Queen Elizabeth I. She visits the Bloody Tower in London, curious to see where he was imprisoned. There, she is amazed to find her ancestor’s ghost waiting for her… Shortlisted for the Smarties Award. « 

Je n’ai pas trouvé de trace de traduction en français de cette oeuvre de Morpurgo à cette heure.

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Peter Pan

De Sir James Barrie. Editions Famot, 1974. Conte adapté aux enfants. Bonne lecture. [250 p.] version adaptée
Autres mentions : copyright chez Hachette en 1956, « racontée aux enfants par May Byron, version française de Madeleine Chabrier« .
Je ne vous ferai pas de résumé à proprement parler, étant donné que je compte vous parler de l’histoire dans ma chronique et aussi que cette édition n’en comporte pas – en admettant que vous soyez parmi les rares personnes à n’avoir aucune idée du thème ou personnage principal !
peter-panJ’ai découvert Peter Pan comme j’imagine beaucoup d’enfants par la version de Walt Disney, conte qui m’a bien fait rêver quand j’étais plus jeune mais auquel j’ai fini par ne plus donner autant d’importance (peut-être à la suite d’un nombre de revisionnages trop massif, aussi). J’ai également vu Hook et Neverland (deux excellents films d’ailleurs, bien que très différents) et lu quelques adaptations modernes (Cyberpan, la Véritable Histoire du capitaine Crochet) de la pièce de théâtre originelle – car si je ne m’abuse c’en est bien une, qui a été transposée en roman par la suite, par l’auteur lui-même il me semble. On voit déjà quelques divergences entre les diverses adaptations les plus récentes du personnage et de ses aventures, et j’avais aussi entendu dire que la version Disney n’était, comme bien d’autres films de la même compagnie, qu’une piètre retranscription très largement édulcorée. Outre les détracteurs les plus virulents des grands studios, quelques lectures analytiques sur le fantastique ou les contes dans lesquels le texte de Peter Pan avait été cité et étudié m’avaient amenée aux mêmes conclusions et attentes. Je m’attendais donc, en ouvrant ce livre, à quelque chose d’acide, d’effrayant, d’horrible, de triste… Enfin, peut-être pas sur toute la longueur non plus, mais dans une certaine mesure ; pourquoi pas même si un peu différemment à la manière de Lewis Carroll et de son Alice.

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Les Mots

De Jean-Paul Sartre. Folio, 1964. Autobiographie. Excellente lecture + coup de cœur pour le style. [206 p.]
motsRésumé : « J’ai commencé ma vie comme je la finirai sans doute : au milieu des livres. Dans le bureau de mon grand-père, il y en avait partout ; défense était faite de les épousseter sauf une fois l’an, avant la rentrée d’octobre. Je ne savais pas encore lire que, déjà, je les révérais, ces pierres levées ; droites ou penchées, serrées comme des briques sur les rayons de la bibliothèque ou noblement espacées en allées de menhirs, je sentais que la prospérité de notre famille en dépendait.« 
Sartre met dans la bouche, dans la tête, de cet enfant qui n’est nul autre que lui-même, des pensées dont je ne sais pas toujours si elles sont de l’homme adulte ou du petit garçon, ou une analyse par l’homme de ce qu’il fut étant plus jeune – et qu’importe après tout ? La musique des mots, l’exubérance de l’être et de l’écrivain, ses rêves et idées les plus extravagantes mais aussi les plus profondes m’ont transportée sans aucun souci à travers ces pages – trop peu nombreuses.

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Contes du Moyen-Âge

Raconté par Karel Dvorák. Gründ, 1982. Contes. Très bonne lecture [199 p.]
contesJe n’ai pas encore chroniqué beaucoup de recueils de contes ici, pourtant c’est un genre que je lis depuis toute petite, ayant commencé comme beaucoup de lecteurs par les traditionnels contes de Perrault et de Grimm, puis m’étant plongée dans la mythologie gréco-romaine : après tout mythe et conte sont cousins proches. Plus grande j’ai fini par faire le tour de France avec cette collection reliée, poche, épaisse, à la tranche rayée, dont je suis incapable de me rappeler l’éditeur, mais qui est toujours très présente dans les rayonnages des bibliothèques, et qui me revient particulièrement en mémoire à l’instant car elle correspond assez aux types de contes que vous allez pouvoir retrouver dans ce recueil. Enfin mes pérégrinations à la recherche de l’oral écrit (vous me suivez ?) m’ont conduite très loin, en Chine, au Japon, dans le Pacifique, en Afrique, voire même en Amérique du Sud, là où les gens racontent des histoires très différentes des nôtres, sur un ton également différent. Je crois que j’ai encore chez moi un livre énorme (grand format, genre 2 kilos), qui contient des contes indiens, peut-être tirés en fait de la mythologie autour du… heu enfin d’un texte indien fondateur que je connais malheureusement très mal, mais que j’ai brièvement rencontré lors de mes lectures de cette année. (Le Brahma… machinchose peut-être 🙂 Désolée !) Si ça dit quelque chose à quelqu’un c’est l’histoire d’une fratrie, dont l’aîné est super fort.
Donc le livre que je chronique aujourd’hui se situe lui dans nos latitudes ; il ne contient malheureusement pas de sources précises quant à l’origine de tel ou tel texte, textes que je situe d’après mes lectures précédentes en Europe plutôt qu’en France uniquement, même si certains y sont probablement nés ou y sont arrivés un jour, sous cette forme ou une autre légèrement différente. La présente édition trouve son origine à Prague.
J’y ai retrouvé beaucoup de « classiques » – entendez par là des contes faciles à retrouver dans les recueils quels qu’ils soient : les Sept Cygnes, les histoires de voleurs ou de filous qui trompent / sont trompés, certaines fables/fabliaux comme le Rat des villes et le Rat des champs ou le Lion et le Rat ; ainsi que des personnages récurrents dans les contes européens de cette époque comme le Diable, Saint-Pierre, Dieu, les valets, les marchands, les voleurs ou les nobles.
La plupart des contes sont assez courts, entre une demi-page et deux pages – même en grand format cela reste des textes qui se lisent vite, et le recueil en compte donc un plutôt grand nombre (70 à la louche d’après le sommaire). J’aime lire des textes courts de temps en temps, contes ou nouvelles, ou même chapitres courts, ça me permet d’arrêter ma lecture à peu près n’importe quand sans me couper dans une action, c’est quelque chose de rare dans les romans et ce changement de rythme est appréciable. Je pense aussi aux conteurs oraux de notre époque : ce livre est un ouvrage que je conseillerais à des buts de lecture à haute voix ou théâtralisation quelconque non seulement de par la longueur des contes qu’il propose, mais aussi de par son style, traditionnel mais fluide.
De même le ton et le but des histoires alterne entre l’humour franc, la moralité parfois un peu sèche, les aventures et tribulations de certains personnages, ou bien ce que j’aurais envie d’appeler les récits spirituels, se situant autour du personnage de Dieu / du Diable, des anges, des saints, etc.
Un livre que je recommande aux amateurs de contes tout comme à ceux qui veulent en découvrir.

Comme des fantômes

De Fabrice Colin. Folio, 2011. Recueil de nouvelles. Excellente lecture. [474 p.]
Sous-titré : Histoires sauvées du feu. Première publication aux Moutons électriques, 2008.
Comme-des-fantomes-Colin-fabriceRésumé : « Que se passe-t-il quand un auteur abandonne ses personnages ? Quand l’Alice de Lewis Carroll oublie de fêter ses 130 ans ? Quand Peter Pan entend vous faire payer ses orientations sexuelles ? Que se passe-t-il lorsqu’un lecteur est pris au piège d’un cadavre d’histoire, qu’un détective devient fabriquant de spectres ou que la mort d’un poète fait surgir une forêt ? Expert en fantômes et en fées, docteur ès faux semblants et machinations troubles, Fabrice Colin possédait sur ces questions – et sur d’autres – des avis très personnels. C’était avant 2005 : avant qu’un incendie accidentel ne mette un terme brutal à ce qu’il appelait lui-même  » ma petite carrière d’ombres « . Ce recueil de nouvelles se veut hommage autant qu’étude ; s’y dévoile par à-coups une personnalité tourmentée et complexe dont les textes ici présentés ne sauraient suffire à épuiser pleinement le mystère. Suicide ou disparition ? Mythomanie chronique ou soif d’histoires compulsive ? La réponse, si elle existe, se trouve à l’intérieur.« 

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Les Salauds Gentilshommes, T.3

De Scott Lynch. Bragelonne : 2014. Roman d’aventures sauce fantasy. Série coup de cœur. [668 p.]

Titre du tome : La République des Voleurs.

Titre original : The Gentlemen Bastards, T.3 : The Republic of Thieves, 2013

république_voleursRésumé : « Après le plus grand casse de leur carrière, Locke et son inséparable complice, Jean, ont réussi à s’échapper. Mais Locke ne s’en est pas tiré indemne : empoisonné, il est mourant. Aucun alchimiste n’est en mesure de l’aider. Alors que le moment fatidique approche, une mystérieuse Mage Esclave lui propose un marché qui le sauvera ou mettra un terme à ses souffrances. Locke hésite, jusqu’à ce que la mage mentionne le nom d’une femme qu’il a connue par le passé. L’amour de sa vie. Sa rivale en matière d’habileté et d’intelligence. Et, s’il accepte cette mission, son plus dangereux adversaire.

À l’approche des élections de la cité des mages, les différentes factions recrutent leurs stratèges. Locke doit faire un choix : affronter ou séduire celle qu’il n’a jamais pu oublier. Leurs vies dépendent peut-être de sa décision… »

Enfin ! Après nous avoir parlé de Sabetha à mots couverts pendant deux tomes, Scott Lynch décide enfin de nous présenter le dernier larron de la bande des Gentilshommes ! (Je suis en train de me dire que je risque d’avoir de plus en plus de mal à vous parler de cette série sans me répéter ou vous dévoiler des éléments de l’intrigue, mais je vais tout de même essayer) Concernant Locke et Jean, franchement je vais passer, si vous en êtes à ce tome vous les connaissez déjà, et l’auteur reste très cohérent dans ses choix de départ et sa dynamique. Les autres personnages de ce tome, vous les découvrirez comme bien d’autres avant si vous vous plongez dedans, je n’ai rien de spécial à dire sur eux, il y en a toujours que j’adore, d’autres un peu moins, mais tous semblent tellement vivants et tellement bien ancrés dans leur environnement, avec ce côté vaguement exagéré dans beaucoup de cas, que j’ai toujours presque l’impression devoir se dérouler une partie de JdR sous mes yeux plutôt que de lire. Bon, je suppose que l’environnement et le thème du voleur / de la tromperie ne m’aide pas !

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Le Protectorat de l’ombrelle, T.4 : Sans Coeur

De Gail Carriger. Orbit, 2012.Fantasy urbaine / Steampunk. Coup de cœur pour la série. [319 p.]
Titre original : The Parasol Protectorate, Book the Fourth : Heartless, 2011
sans-coeurRésumé : « Lady Alexia Maccon a de nouveau des problèmes. Sauf que cette fois elle n’y est vraiment pour rien. Un fantôme fou menace la reine ! Alexia est sur l’affaire et suit une piste qui la conduit droit dans le passé de son époux. Mais la coupe est pleine quand sa sœur rejoint le mouvement des suffragettes, avec la dernière invention mécanique de Madame Lefoux et une invasion de porcs-épics zombies… Avec tout ça, Alexia a à peine le temps de se souvenir qu’elle est enceinte de huit mois ! Alexia découvrira-t-elle qui tente d’assassiner la reine Victoria avant qu’il soit trop tard ? Les vampires sont-ils encore coupables, ou est-ce qu’un traître se cache parmi eux ? Et qui ou quoi, exactement, a élu résidence dans le deuxième dressing préféré de Lord Akeldama ?« 
Que dire encore si décidément vous n’avez toujours pas commencé cette série sympathique, sinon géniale ?

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Le Protectorat de l’ombrelle, T.3 : Sans Honte

De Gail Carriger. Orbit, 2012.Fantasy urbaine / Steampunk. Coup de cœur pour la série. [310 p.]
Titre original : The Parasol Protectorate, Book the Third : Blameless, 2010
sans_honte_TRésumé : « Après les événements survenus en Écosse, elle est retournée vivre chez ses parents. La reine Victoria l’a exclue du Cabinet fantôme, et la seule personne qui pourrait donner une explication à sa délicate condition actuelle, Lord Akeldama, a inopinément quitté la ville. Pour couronner le tout, Alexia découvre que les vampires de Londres ont juré sa mort.
Tandis que Lord Maccon met toute son énergie à boire, et que le Professeur Lyall tente désespérément de maintenir la cohésion au sein de la meute Woolsey, Alexia s’enfuit en Italie à la recherche des mystérieux Templiers. Ils sont les seuls à pouvoir l’aider. Mais ils pourraient aussi s’avérer pires que les vampires. Surtout armés de pesto.« 
Un tome que je m’attendais bien à trouver un peu plus poignant que le précédent, au milieu toujours de traits d’humour, situations cocasses et personnages hauts en couleur. C’était bien le cas, même si Carriger arrive avec justesse à ne pas tomber dans le mélodrame ou les larmichettes ! Je dis très rarement de telles choses, alors ouvrez grand vos oreilles à mon ersatz d’âme romantique qui pour une fois s’est réveillé : j’adore le couple formé par Connall et Alexia. Vraiment. Je le trouve beau, drôle, mignon, sympa, complice – proche de la perfection à mon avis. Je n’ai pas pu m’empêcher de suivre les actions et pensées de l’un et l’autre depuis le milieu du tome un en me sentant vaguement une âme de midinette ! En même temps je trouve que l’un et l’autre personnages sont intéressants, fouillés, humains (!), et j’apprécie beaucoup les suivre dans leur quotidien ou leurs rôles respectifs ; je leur trouve beaucoup de substance, et c’est très appréciable. Je suis régulièrement surprise par leurs choix, tout en ne l’étant pas trop non plus (ça reste cohérent). Un autre personnage que j’apprends de plus en plus à apprécier est le Béta Lyall : là aussi je trouve que l’auteur a fait un excellent boulot, dans la conception du personnage autant que dans ses discours, actions et prises de décision. Tous ces détails font que je continue à ne pas décrocher de la série : elle a un but divertissant, certes, mais pas au ras des pâquerettes. D’ailleurs malgré ma PàL j’ai surtout envie d’aller chercher le tome 4 à la médiathèque.
A propos de personnages hauts en couleur et des situations idiotes je suis très impatience de retrouver Biffy dans le prochain tome, ainsi que les personnages impliqués dans la même mésaventure et ses  conséquences, ça promet un joli sac de nœuds pour la suite ! 😀 J’ai adoré les moments où Lord Maccon était beurré, c’était juste aussi génial et drolatique que ce à quoi je m’attendais. (Je vous laisse découvrir et savourer tous les détails par vous-même). Je n’ai que deux récriminations sur ce tome : l’illustration de couverture qui, chez Orbit au moins, nous montre une Alexia toujours plus fine, alors que l’auteur insiste lourdement sur sa taille de bourdon et ses formes généreuses ; et j’aurais apprécié des Templiers un chouïa moins stéréotypés, plus diversifiés au sein de leur communauté comme le sont vampires et loups-garous.
Je me rends compte que c’est difficile d’écrire des chroniques pour les différents tome d’une même série : je ne peux pas parler de beaucoup de choses sans dévoiler une partie de l’intrigue, je risque de me répéter, et à force j’ai moins de choses à raconter. Je pense que j’arriverai à m’en sortir ici vu qu’il n’y a que 5 tomes (de tête), mais je pourrais tomber sur des séries pour lesquelles je serais plus tentée de ne faire qu’une seule chronique pour le tout.

 

Tome 1 : Sans Âme
Tome 2 : Sans Forme
Tome 4 : Sans Coeur
Tome 5 : Sans Âge
 
Chroniques d’ailleurs :  Le Chat du Cheshire, Bulle de Livre

Le Protectorat de l’ombrelle, T.2 : Sans Forme

De Gail Carriger. Orbit, 2011. Fantasy urbaine / Steampunk. Coup de cœur pour la série. [319 p.]
Titre original : The Parasol Protectorate, Book the Second : Changeless, 2010.
Sans-formeRésumé : « Un jour qu’elle se réveille de sa sieste, s’attendant à trouver son époux gentiment endormi à ses côtés comme tout loup-garou qui se respecte, elle le découvre hurlant à s’en faire exploser les poumons. Puis il disparaît sans explication… laissant Alexia seule aux prises avec un régiment de soldats non humains, une pléthore de fantômes exorcisés, et une reine Victoria qui n’est point amusée du tout. Mais Alexia est toujours armée de sa fidèle ombrelle et des dernières tendances de la mode, sans oublier un arsenal de civilités cinglantes. Et même quand ses investigations pour retrouver son incontrôlable mari la conduisent en Écosse, le repère des gilets les plus laids du monde, elle est prête ! « 
Bon déjà presque tout ce que j’ai dit sur le tome 1 reste d’actualité. Les scènes « crues » se font néanmoins un peu plus rares, contexte oblige (ça deviendrait lourd sinon). C’est toujours drôle et passionnant. J’ai apprécié voir enfin les fantômes devenir plus que de simples connaissances d’arrière-plan de l’univers. D’ailleurs j’ai embrayé sur le tome 3 à la suite d’un PUTAIN DE CLIFFHANGER à la fin de ce tome-ci (fini il y a à peine une demi-heure, excusez mon état d’ébriété de folie passagère).

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