Le Mystère du trésor englouti

De Stéphane Tamaillon. Imaginemos, 2013. Aventure jeunesse. Bancal. [149 p.]

Lu dans le cadre d’une Masse Critique organisée par Babelio

mysteretamaillon

Résumé : « Et dire que Jules, qui déteste la plage, avait peur de s’ennuyer, sans ordi, sans télé, sans copains ! Ses vacances vont vite se transformer en une incroyable chasse au trésor quand il découvrira ce que cachent le musée, le phare, la forêt, la dune, les blockhaus engloutis. Mais saura-t-il déchiffrer le code secret ? Vite, on plonge dans l’aventure…« 

Je pense que je vais définitivement arrêter de me faire du mal en lisant cet auteur, ça ne colle pas entre nous.

J’ai lu ce livre il y a une semaine et j’en ressors encore de la frustration. Au vu du résumé, de la couverture, du genre, j’étais pourtant très bien partie : les romans d’aventure jeunesse c’est quelque chose qui passe toujours bien, même encore maintenant que je n’ai plus l’âge de m’asseoir par terre dans le rayon pour bouquiner et pousser des exclamations d’excitation quand le groupe de jeunes aventuriers trouve le trésor ou un indice d’importance (mais j’apprécie quand même lire ou fouiner à l’étage jeunesse pour ne pas trop me contraindre me comporter comme une adulte rigide, silencieuse et posée ! ça y dérange moins).

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Armageddon Rag

De George R. R. Martin. Folio (SF), 2014. Roman. Une lecture looooongue. [586 p.]
Titre original : Armageddon Rag, 2013.
~ Merci à nymeria de Avides Lectures et aux éditions Folio de m’avoir fait gagner et envoyé cet exemplaire ~
armageddon-ragRésumé : « Jamie Lynch, l’imprésario d’un des plus grands groupes de rock des années soixante, les Nazgûl, est retrouvé ligoté à son bureau et le cœur arraché. Un meurtre qui en fait remonter un autre à la surface : celui du chanteur du groupe, abattu en plein concert, en 1971. Deux crimes non élucidés distants d’une dizaine d’années. Une énigme. Parce que son quatrième roman est au point mort, parce qu’il a suivi l’affaire Charles Manson en tant que journaliste, parce qu’il est fasciné par l’histoire et la musique des Nazgûl, l’écrivain Sander Blair décide de mener sa propre enquête et d’en tirer un livre, son De sang-froid. Mais Sander va rapidement se rendre compte que, malgré les apparences, le meurtre de Jamie Lynch n’est pas une nouvelle affaire Sharon Tate. C’est bien plus compliqué. Et bien pire.
Thriller fantastique hanté par des visions d’apocalypse, fascinante plongée dans l’Amérique de l’après-guerre du Viêt Nam sur laquelle plane le fantôme de l’âge d’or du rock, Armageddon Rag est une des réussites majeures de George R. R. Martin…  « 
Ce titre est le troisième Martin que j’avais envie de découvrir cette année, coûte que coûte j’ai envie de dire puisque les deux premiers essais n’ont été concluants ni l’un ni l’autre. Je vais désormais arrêter de m’acharner et retourner à d’autres auteurs.
La classification en « SF », oui, oui, la belle collection toute argentée qui regroupe space-opera et autres récits d’anticipation, me laisse encore pantoise. Dites-vous que le premier élément véritablement SF, et encore ! arrive vers la page 520. Cinq cent vingt pages sur cinq cent quatre-vingt-six pages sont consacrées à plein de choses, dont certaines peuvent paraître étranges, certes, mais dont pas 1% ne peut être expliqué par la fatigue ou la consommation de substances licites ou illicites potentiellement hallucinatoires, et qui se déroulent toutes dans un présent tout à fait réaliste. Étant donné que ce livre n’a pas grand’chose non plus d’un thriller, je dirais que le rédacteur de la 4e a également halluciné quelque peu… ou n’a pas lu le livre, c’est selon. Si vous voulez lire de la SF, un « pur » thriller contemporain ou un roman policier classique, ne choisissez peut-être pas ce livre.

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La Bible des couleurs

De Réjane Masini-Frydig. Editions Jouvence, 2009. Manuel. Lecture abandonnée [158 p.]
la_bible_des_couleurRésumé : « Plus qu’un livre de chromo- ou de colorthérapie, cette Bible des couleurs nous révèle le langage, les pouvoirs et les vertus secrètes des couleurs. Chaque couleur de l’arc-en-ciel, plus le noir et le blanc sont présentés de façon très pédagogique, par rubriques. Le lecteur est d’abord invité à identifier et à visualiser les différentes nuances de chacune des couleurs du cercle chromatique, puis à pratiquer un exercice de rêve éveillé où domine celle qui est analysée afin de s’imprégner de son énergie. L’auteur dresse ensuite une liste des aspects positifs puis négatifs de la couleur au niveau de l’action, des émotions, des sentiments et des pensées. Elle met aussi en lumière son utilisation dans la publicité, en pharmacologie, et évoque ses effets au niveau  » déco  » de la maison. Réjane Masini-Frydig traite également des propriétés, des indications et des contre-indications thérapeutiques de la couleur – la chromothérapie étant sa spécialité. Saviez-vous par exemple que le jaune est la couleur-clé du système nerveux ou que l’orange est un stimulant respiratoire, que le pourpre induit fortement la relaxation et le sommeil ? Elle explique à quel chakra la couleur correspond et décrit sa résonance au sein du cercle chromatique. Puis elle indique sa couleur complémentaire – la complémentaire du rouge est par exemple le cyan, celle du pourpre, le jaune citron – avant d’en évoquer la signification psychologique, symbolique, traditionnelle, spirituelle et artistique et de nous donner quelques conseils sur les associations des différentes couleurs !« 
Un livre que j’ai pris, manipulé, reposé, repris finalement en me disant que d’aller contre ses préjugés ça pouvait avoir de bonnes conséquences. Pas toujours, en fait !

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Lune Mauve, T.1

De Marilou Aznar. Casterman poche, 2014. Roman(ce) ado teinté de fantastique. Une déception attendue*. [421 p.]
Lune-mauveRésumé : « Un seul coup d’oeil m’avait suffi pour constater que j’étais la fille la plus mal fagotée du bahut. Moi, Séléné Savel, à Darcourt, le lycée le plus snob de Paris ? Je m’y donnais autant de chances de survie qu’une souris lâchée dans un enclos de chats affamés ! J’étais plongée dans mes pensées moroses lorsqu’une élève me bouscula. Là où elle m’avait touchée, la peau me démangeait d’une vibration électrique. Un visage s’insinua dans mon esprit, celui d’un inconnu aux iris aussi verts et froids que ceux d’un serpent, puis il s’effaça aussitôt. Je retins ma respiration. Ma nouvelle vie était sur le point de commencer.« 
Je remercie les éditions Casterman de m’avoir envoyé ce livre de manière spontanée.

 

Cette lecture a été pour moi moins désagréable que je ne l’avais crains, en un sens, mais en un sens seulement. Malgré une avancée relativement rapide dans le livre grâce à un style plutôt fluide, je n’y ai pas trouvé grand’chose pour me distraire ni pour me plaire.
Étant donné le très net déséquilibre entre les différentes parties du livre, je vais vous scinder ma critique :
Le début m’a fait croire que j’allais lâcher le bouquin avant la page 50 (cas de force majeure, ça m’est déjà arrivé !) : gros soucis de cohésion dans les paragraphes, héroïne inerte, Fantasy instillée mine de rien entre deux considérations sur la petite vie de lycéenne et les fringues de la demoiselle (qui ne semble même pas réagir à ce drôle de tour), et mauve-ais** clichés : le père excentrique voire inhumain et absent, la demoiselle bretonne (bretonne ! « L’utilisation de la Bretagne dans les œuvres de fiction comme modèle de région française provinciale, opposée à la capitale » : vous avez 4 heures) envoyée à Paris, l’héroïne orpheline de mère, la lande déserte vs la grande ville bondée, tout ce cadre pour finalement ne s’en servir que de manière très succincte.

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Le Trône de fer

De G.R.R. Martin. 2010. Fantasy. Lecture inachevée. [785 p. intégrale tome 1]
Titre original :  A Song of Ice and Fire
martinLu jusqu’à la page 121. (en juin 2013)
Le style d’écriture me va (syntaxe, vocabulaire, dynamisme de la langue), mais non seulement c’est très violent / amoral (ce que j’aurais peut-être pu supporter quelques dizaines ou centaines de pages de plus, ou pas ?), mais surtout je m’ennuie profondément. J’ai l’impression qu’on m’a déjà présenté 150 personnages primaires et secondaires, et tertiaires, et aussi des morts depuis des siècles, et aussi des cousins de tantes d’autres familles que celles que je n’arrive déjà pas à retenir !! Bref, c’est assez.
De plus je n’arrive pas non plus à me prendre des repères sur les cartes, et l’auteur ne m’aide pas beaucoup, trop occupé à me rappeler pourquoi tel personnage n’aime pas l’autre, parce qu’un troisième a subi un affront de la part d’un cinquième qu’un quatrième a honteusement couvert, il y a de cela des décennies quand les dynasties X et Y se faisaient la guerre à cause de… Bref, j’ai un peu l’impression de lire une encyclopédie, plus qu’un roman. Et puis j’aime trop peu de personnages au milieu de tous ces mécréants, ces vicieux, ces putains, ces pauvres gosses, etc. Pas un univers pour moi, et pas amené assez progressivement pour que j’aie même envie de m’accrocher.
Et je ne parle même pas du fil conducteur, qui s’il existe, est noyé dans l’avalanche d’informations. Au revoir, M. Martin. Vu que la série est dite pire encore (je n’ai pas testé, mais tout le monde a l’air d’accord sur ce point), je pense que je vais simplement me blaser de ne pas comprendre toutes les allusions au TdF/GoT, et continuer d’en faire sur Tolkien que lesdits gens ne suivent pas toujours non plus. Mouahahahaha.
Peut-être qu’un jour je retenterais, ou pas.

La Vierge Noire

De Philippe Mignaval. 2009. Thriller ésotérique. Mauvais.
Note : D’habitude, je mets ce qui me gêne en rouge, mais comme je trouve que c’est une couleur agressive j’ai préféré gardé le vert dans cette critique, pour pas vous faire mal aux yeux. ^^
viergenoireRésumé : « Parmi les reliques que lui confie une parente centenaire, Alban Vertigo découvre une mystérieuse lettre datant de la Révolution et révélant que la fameuse Vierge noire du Puy aurait échappé au bûcher républicain. À peine Alban a-t-il commencé à suivre la piste de la statue que d’atroces crimes rituels se succèdent. Les cadavres sont retrouvés nus, ligotés en position fœtale, les yeux arrachés. Mais que représente cette Vierge noire? Au nom de quoi fait-elle couler tout ce sang? De quel pays, de quel culte, de quel temps est-elle issue? Autour d’Alban et de Gargovitch, le flic de service, gravitent d’étranges personnages: une ex d’Alban devenue médium, une énigmatique dame orange, une séduisante journaliste, la papesse française de l’art roman, un druide illuminé et une secte très spéciale… Certains sont prêts à tout, et même plus, pour s’emparer de la Vierge noire.« 
En lisant le résumé j’ai pensé que ce livre n’était peut-être pas exceptionnel, peut-être bien truffé de stéréotypes et autres défauts mineurs, mais que le thème me plaisait et qu’il allait probablement me faire passer un bon moment de lecture.
Arrivée à la page 60, je suis déjà en mesure de dresser une liste de ce qui ne va PAS. Je veux dire, ce qui a réussi à me sortir de ma torpeur agréable de « je lis un bouquin de fiction et c’est sympa ».

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Lasser, Détective des Dieux, T.1 : Un Privé sur le Nil

De Sylvie Miller et Philippe Ward. Editions Critic, 2012. Polar / Fantasy. Une déception.
lasserRésumé : « 1935 Le Caire. Jean-philippe Lasser, détective privé de seconde zone, hante le bar de l’hôtel où il a posé ses valises et ses bureaux, en attendant le coup qui rapportera gros. Pour le moment, il ne décroche que des petites affaires, celles que tous ses confrères ont refusées… La dernière en date pourrait bien changer la donne : la déesse Isis en personne vient lui demander de retrouver le très convoité manuscrit de Thot. Or, si l’opportunité peut le rendre plein aux as, elle peut aussi le laisser sur le carreau. Malgré ses réticences, il n’est pas en mesure de refuser dans cette Égypte pharaonique où les dieux marchent parmi les hommes, quand les premiers ordonnent, les seconds obéissent. Délaissant son précieux seize ans d’âge, il se lance dans une succession d’enquêtes rocambolesques qui le verra peut-être devenir le seul, l’unique, détective des dieux !« 
Je ne lirais pas la suite des aventures du privé Jean-Philippe Lasser. J’ai arrêté ma lecture page 275, à la fin d’une des enquêtes qui constituent le livre, délaissant la dernière car cela faisait déjà au moins 7 fois que je regardais où j’en étais dans le bouquin, et que pour être franche rien ne m’a réellement divertie dans le livre, mis à part quelques rares situations qui tiennent en moins de deux pages.

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Les Enquêtes d’Hector Krine, T.3

De Stéphane Tamaillon. 2012. S-F / historique jeunesse. Mauvais, et ne m’a même pas divertie.
krine3Résumé : « Hector Krine après la mort de son fils peine à reprendre le fil de sa vie. Une nouvelle enquête va pourtant le mener à la poursuite de celui qui pourrait bien être Jack l’éventreur. Aidé de son ami Jekyll et en compagnie de Rudyard Kipling lui-même il suit la piste d’un savant fou, le docteur Moreau, dont les travaux monstrueux ont repris clandestinement à Londres. Un peuple entier de mutants est en train d’envahir les bas-fonds de la cité. Il faudra beaucoup d’expérience et de chance à Krine pour se sortir de cette affaire dont le dénouement lui réservera une grosse surprise*. »
Je viens aujourd’hui d’atteindre mes limites de patience et de tolérance en ce qui concerne cette série. Je m’arrête donc page 197, victime d’un agacement sans bornes – de toutes façons plus j’ai plus ou moins perdu le fil, et franchement je me contrefiche de savoir ce qui se passera plus tard dans l’histoire tant le début n’a que peu d’intérêt.
Cela fait déjà deux critiques au cours desquelles j’ai le plaisir (mauvais) de vous expliquer en quoi je trouve cet auteur mauvais. J’ai malheureusement quelques anecdotes et détails supplémentaires à y ajouter :

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L’Apocalypse selon Marie

De Patrick Graham. 2008. « Thriller* ». Une vraie déception, malgré un style pas si mauvais.
Arrêté page 226, soit la moitié du livre.
* Je pense que le mot est assez inadapté. Pas de frissons, pas d’excitation. Récit proche de l’onirisme, avec des incursions dans le genre policier / thriller de temps en temps.
apocalypsemarieRésumé : « Perdue au milieu d’une foule de réfugiés dans un stade de La Nouvelle-Orléans, Holly, une fillette de onze ans, appelle au secours. Elle a peur de l’ouragan qui dévaste sa ville, peur d’avoir perdu ses parents, peur que quelque chose de terrible ne se soit glissé en elle. Marie Parks, profileuse et médium au FBI, entend son appel. Elle vient de mettre un terme à la carrière du plus sanglant des serial-killers, un tueur bien plus proche d’elle qu’elle n’aurait voulu le croire. Brisée et en colère, elle va pourtant trouver la force d’affronter la terre entière, et même ses anciens collègues du FBI, pour sauver une enfant. Car Holly a des pouvoirs immenses et se révèle l’enjeu d’une lutte ancienne, le seul espoir de l’humanité contre le fléau qui menace de l’engloutir. A moins que le fléau, ce ne soit justement elle… Une seule femme se dresse entre vous et la fin des temps. Patrick Graham a un don pour jouer avec nos peurs primaires, nos espoirs de rédemption et nos émotions les plus intimes. Son roman ouvre un chemin qui mène droit à la fin du monde. Vous n’aurez pourtant jamais envie de faire demi-tour. »
J’avais vaguement entendu parler de cet ouvrage, jusqu’au jour où, passant à la médiathèque avec une amie qui voulait s’initier au thriller, je me le suis moi-même fait chaudement recommander par une des bibliothécaires venue discuter avec nous.
Après être arrivée à la moitié du roman, ce qui m’énerve le plus c’est que la 4e de couverture est totalement mensongère. La fillette, Holly, je l’ai vue quoi ? 30 pages ? Et je n’en sais pas plus sur elle que ce que donne la première phrase du résumé ! Le reste du résumé promet une intrigue haletante, de l’action… mais en fait (toujours là où j’en suis), il ne se passe rien, ou très peu, de tout ça – surtout car tout est assez décousu. On parle d’Untel, puis on se focalise sur quelqu’un d’autre, et finalement tout semble se cristalliser autour de chamans de 400 ans, qui possèdent un genre d’immortalité en même temps que des super-pouvoirs, comme vous allez vous en rendre compte au bout de 30 pages si vous tentez l’expérience vous-même. Ce n’est pas vraiment (du tout) ce à quoi je m’attendais !!

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Pharaon

De David Gibbins. 2013. Thriller/aventures historique. Mauvais. Lecture inachevée.
AVERTISSEMENT : malgré une couverture alléchante et un résumé enthousiasmant ce livre est véritablement mauvais. Lecteurs sensibles, s’abstenir.
pharaonRésumé : « 1334 ans avant J-C, Akhénaton règne sur l’Égypte, tandis que le jeune Toutânkhamon se prépare à lui succéder. Mais Akhénaton disparaît… et, avec lui, son héritage, qui serait mystérieusement englouti par les sables gisant sous le site du Caire actuel et les grandes pyramides de Gizeh… 1885 après J-C. Un homme à moitié fou affirme l’existence d’un labyrinthe enfoui sous Le Caire, et d’un réseau de canaux, palaces et tombes.
On ne le croira pas pendant près de 30 ans… jusqu’à la découverte du tombeau de Toutânkhamon en 1924. De nos jours. L’archéologue Jack Howard et son équipe fouillent l’un des plus impressionnants sites sous-marins jamais découverts. C’est alors qu’ils entendent parler de l’histoire de l’ingénieur fou. Le début d’une formidable aventure qui nous plonge au coeur des mystères du Nil, dans un monde vieux de 3000 ans, au sein d’un peuple qui a juré de garder le plus grand secret de tous les temps… »
C’est la première fois (ici en tous cas) que je qualifie un livre de « mauvais ». Celui-ci m’a déçu à tant de reprises que je ne sais pas trop par où commencer.
Le résumé me faisait au contraire penser que l’énigme et son déroulement pouvaient être excellente ; en plus l’Egypte antique c’est quelque chose qui me plaît. Ensuite, ceci est le 6e roman de l’auteur. Maintenant je me demande comment est-ce qu’il a réussi à se faire publier – j’avais secrètement espéré que c’était son premier, vous savez, celui qui parfois est plus ou moins le brouillon des autres. Hélas.
Je dois dire que je ne sais pas en quelle proportion la traduction a pu empirer les choses, mais sincèrement je n’ai quasiment rien à dire de bon sur cette lecture, que j’ai décidé d’abréger (ma lecture et mes souffrances) p.72 après 40 pages de « Noooooon… », de « c’est pas crédible, ça », voire de rires hystériques tellement certaines choses ne vont pas ou sont mal tournées.

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