De Jonathan Stroud. 2005. Fantasy jeunesse. Très bonne lecture. (relecture)
Tome final de la Trilogie de Bartiméus
Titre original :Ptolemy’s Gate
Résumé: « Londres, ville des sorciers, est en proie aux grèves et aux émeutes. Humains et démons en ont assez d’être asservis aux magiciens dédaigneux qui les exploitent et les humilient. Mais cette grande révolution pourrait bien tourner à l’apocalypse. Nathaniel, le jeune magicien ambitieux, Bartiméus, le djinn sarcastique, et Kitty, la résistante, sauront-ils surmonter leurs dissensions et unir leurs forces pour sauver Londres? »
Après un début un peu poussif, enfin tout s’emballe ! Révélations sur les personnages, évolution de certains personnages (dont un un peu trop soudainement, je trouve, mais je ne vais pas me plaindre car il est tout d’un coup beaucoup plus intéressant !), intrigues qui reprennent, mais surtout questions laissées en suspens depuis le tome 2, voire le tome 1, qui trouvent enfin leurs réponses !
J’ai largement préféré ce dernier tome au deuxième, même si quelque part il s’y passe moins de choses, en ce qui concerne les actions et déplacements des personnages. Je ne pense pas pouvoir plus entrer dans les détails sans en dévoiler trop ; le style de l’auteur reste le même ; l’univers, que j’apprécie décidément beaucoup, est toujours décrit un peu plus, entre deux épisodes d’action ou de narration. Je reste attachée, plus ou moins, aux personnages, parmi eux les trois narrateurs très disparates.
Je n’ai par contre pas compris pourquoi Crystal Palace est devenu « le Palais de Verre » au cours de la traduction. Enfin, je n’ai pas la version anglaise sous la main, mais je la mettrais à couper (oublié le nom de cette figure de style à l’instant) que ce dont ils parlent est bien le Crystal Palace…
Une fin qui m’a plu, malgré quelques stéréotypes et détails courus d’avance.