De Ridley Pearson. 2004. Roman psychologico-fantastique. Je n’ai globalement pas aimé ce livre.
Titre original : The Diary of Ellen Rimbauer, my Life at Rose Red, 2001
Résumé : « Durant l’été 1998, au cours d’une vente aux enchères, j’ai acquis un journal intime cadenassé et recouvert de poussière, persuadée que ces écrits appartenaient à Ellen Rimbauer. Au début du XXe siècle, John et Ellen Rimbauer faisaient partie de l’élite de la haute société de Seattle. Le couple fit construire une gigantesque résidence sur les hauteurs de Spring Street. Baptisé par la suite » Rose Red » – Rose rouge -, cet édifice a été l’objet de nombreuses controverses. En effet, sur une période de quarante et une années, au moins vingt-six personnes ont soit perdu la vie, soit disparu mystérieusement entre ses murs.
Le journal intime de Ellen Rimbauer, dont je vous propose des extraits, m’a conduite à faire certaines découvertes, qui m’ont poussée à organiser une expédition. Dans peu de temps, je serai à la tête d’une équipe d’experts en phénomènes paranormaux, au cœur de la propriété des Rimbauer, afin de sortir cette gigantesque force psychique qu est Rose Red de sa torpeur. J’espère ainsi venir à bout de certains mystères que mon mentor, Max Burnstheim, n’a pu résoudre avant sa disparition à Rose Red en 1970. Au nom de la science, je continue ma poursuite de la vérité sur Rose Red ; advienne que pourra. » Dr Joyce Reardon, Département des Phénomènes paranormaux Université de Beaumont Seattle, Etat de Washington, USA.
En lisant la 4e de couverture, et aussi le signet présent dans l’exemplaire de la médiathèque, je pensais me lancer dans un livre fantastique mettant en scène une jeune femme vivant dans une maison « hantée », vivante, qui fait disparaitre ses occupants d’une manière ou d’une autre, au début du XXe siècle aux Etats-Unis. C’est tout à fait juste, mais les éléments que j’ai trouvés dans ce livre, ainsi que sa structure, ne sont pas ceux auxquels je m’attendais.