De Quentin Tarantino. 2012. 2h44
Résumé : « Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves… »
(source : allociné http://www.allocine.fr)
Il y a quelques années je ne connaissais Tarantino que de nom. Avant mes 12 ans je n’avais en gros ni lu ni regardé aucune œuvre qui soit violente mis à part le journal télévisé. J’ai ensuite commencé à lire quelques polars, voire même un peu d’horreur, encore que les Chair de Poule restent je crois une référence enfantine. Je n’ai jamais pu regarder de film d’épouvante ni d’horreur – même en étant passé à des lectures de plus haut niveau d’intensité horrifique que la collection de R.L. Stine : Stephen King, Jean-Christophe Grangé, Thomas Harris (Le Silence des Agneaux)… Par contre, la violence ne me dérange pas (encore une fois, du moment que le reste, scénario, personnages, etc. est bon), ni quand il est question d’en lire ni quand il est question de voir des scènes d’action, de combat ou de guerre dans une œuvre cinématographique.